Ouf ! Je ne mourrai pas de faim ! Du moins pas cette année. Sans Souricette - qui, vous n’êtes pas sans l’ignorer (sic) vient d’ouvrir un blog absolument épatant - et son cœur d’or, je pouvais me faire du souci. Pour ne rien vous cacher, je commençais à lorgner sur les cerisiers et abricotiers des voisins et leurs enfants dodus.
Et comme Souricette - qui, vous n’êtes pas sans l’ignorer (sic) vient d’ouvrir un blog absolument épatant - est aussi une artiste de talent (vous pouvez admirer ses œuvres sur le blog absolument épatant qu’elle vient d’ouvrir) j’ai vu ma collection d’enveloppes joliment timbrées (pas que les enveloppes, Souricette - qui, vous n’êtes pas sans l’ignorer (sic) vient d’ouvrir un blog absolument épatant -, doit une partie de son génie créateur d’être très joliment affranchie aussi, notamment les soirs de pleine Lune) s’enrichir de trois superbes pièces.
Donc je plante et j’attends.
Attendre, c’est ça qui va être long.
(En attendant justement je pourrais réfléchir à ces noms étranges, codés peut-être ? Le «radis national» (un parti politique ?) … la «courgette verte non coureuse des maraîchers» ( ?) … la «courge Jack O Lantern» (made in USA ?) Je me sens de moins en moins végétarien soudain.)
J’attends. Ah non! Je plante d’abord. Et je vous tiens au courant.
Et, Oh mon Dieu! j’allais oublier le principal : Souricette vient d’ouvrir un blog absolument épatant que je vous engage à visiter massivement et pas plus tard que maintenant. (Comment que je vais lui exploser son petit blogrank, elle va être aux anges!)
(C’est bon comme ça, Souricette ? J’aurais pu faire mieux ? Bon, demain j’écris un autre billet plus… un peu moins… un beau billet sur vous. Votre vie, votre œuvre, etc.)