Souvenez-vous, nous avions laissé Maria, la jeune fille de la maison Comet, à ce point de sa vie où, délaissant ses honnêtes lectures, son “langage des timbres” (voir plus bas) nous avait donné à penser qu’elle était tombée amoureuse...
Voici maintenant son “langage des yeux”:
En y regardant de plus près, je m’aperçois, mais peut-être n’est-ce qu’une idée, que ce langage se fait plus violent (“Je vous aime à mourir”), et, j’imagine encore, plus désespéré. Pour preuve, cette dernière page arrachée qui devait contenir la suite, comme si l’éconduite - ou la maladroite? - avait passé sa rage sur cette page absente qui l’a faite trébucher.
Je vous laisse imaginer, grâce aux illustrations ci-dessous, le clin d’œil fatal que l’idiot en face a mal (ou trop bien) interprété.
cas n°1
cas n°2
cas n°3
cas n°4
cas n°5
(Etant à peu près aveugle à l'heure où je termine ce billet, merci de me signaler les erreurs qui auraient pu se glisser ici ou là.)